jeudi 23 février 2012

La bas, ici, avant apres

Avant, j’habitais la bas
J’aimerais te raconter Las bas….
Les couleurs sont vives, éblouissantes
Si belles que l’horreur rougissante
S’est refugiée dans les cauchemars
Il faut que tu y ailles pour le croire.
C’est las bas que je vivais tous les jours de l’année
Las bas, il y a un voile entre toi et la douleur
Et le bonheur se paie avec une fleur
Et avec un sourire, on rend la monnaie.
Mais las bas je n étais pas encore née.
Maintenant j’habite ici
Ici…
Je vais te raconter
C’est arrive un certain 23 mai
La douleur était vive, paralysante
Intense, présente, oppressante,…
Mais tu étais si beau que la peur rougissante
S’est transformée en un lointain cauchemar.
Il suffit que je te regarde pour croire
Depuis je vis ici.
Ici c’est difficile.
Tout est versatile
Mais je suis utile
Il n y a plus de futile ici.
Il y a avant et après toi.
Des instants d’effroi
D’émoi
Et moins
D’instants de moi
Mais plus d’instant de foi
Grace à toi.
J’ai mis les pieds sur terre
Pour rencontrer le paradis
Sur ton petit visage
Au sourire malicieux
Tes gestes généreux
Qui veulent dire, j espère, que tu es heureux.
En tout cas tu es un petit fou joyeux
Qui me fait ressentir le présent comme un souvenir déjà
Comme si ma vie c était transformée en une constante nostalgie
Tu es la conscience du bonheur, la magie
Qui illumine mes jours.

Le fruit de l'arbre que j ai arrose de la sueur de mon ame...blablabla

Elle est belle,
Rebelle,
J’ai endure le feu ardent de tes yeux pour elle
Et du filet d’air sortant de ma bouche,
J’ai tisse des ailes pour m’envoler loin du venin farouche
Qui provenait de la tienne.
Oui elle est belle et bien mienne.
Je l’ai gagnée parce que je l’ai exprimée
Quand tu essayais de la comprimer
Au fond de ma gorge
Mais j’en regorge, alors
Elle s’échappe par mes pores
Elle brille dans mon regard
Se passe de tout fard
Elle éclate de ma poitrine en un rire de cristal
Et Dieu sait pourquoi tu as mal
Elle t’enrage
Mais je l’ai conquis par le courage
D’être sans la peur de paraitre
De n’être
Mon propre maitre
Qu’a condition de reconnaitre
Le suprême maitre
De naitre
Tous les jours dans la douleur
De ta peur de comprendre
Tous les jours
Avec plus de conviction
D’être plus qu’un simple pion
Elle est à moi
Rien ne peut me l’arracher
Elle a beau de te fâcher
Mais je l’ai méritée
Quand j’ai quitte
Le confort de la normalité
Que j ai décide que ma vérité
C’était
MA LIBERTE.

Premier amour, totalitaire

Je n avais jamais eu mal
De petites écorchures
Rien de bien grave je réalise
Parait que maintenant je suis mure
Faut plus que idéalise
Moi je dis tu as vole c k j’avais de plus pure
Tu es ma vraie blessure
J ai même pense au cyanure.
Ce qui ne tue pas ne rend pas plus fort
On a juste un peu plus peur de la mort
Je repense a tout mes effort, avais je tort ?
Je pouvais tout pour toi
Porter toutes les croix
De toi a moi comment t as pu me faire ca ?
J étais toujours la, t ai soutenu quand t étais las
Lisse comme du verglas, jamais aucun éclat
Inconditionnelle même quand je t ai vu avec elle
Dans ce lit enlacé quand e moi tout se cassait
Tout. Sauf cet amour que je traine, qui me freine
Qui doucement s est mue en haine envers moi-même
Si seulement je n avais pas tout donne
Si seulement je ne m étais pas abandonnée
Tout ces gens que j aimais, qui m'aimaient que j ai nie
Car ils disaient tu ne dois pas, tu ne peux pas t y fie
Poliment ils me consolent sans trop de protocole
Moi j ai remis ma carapace, il y a tellement de rapaces.
O me dis c est comme ca que ca se passe
Pourquoi faut il que je m y fasse ?
Je dis non a cette mascarade d’égueulasse
A ces histoires qui s écrivent en même temps qu’elles s effacent.
Moi je veux aimer c est tout, d un amour qui rend fou
Moi je veux aimer même avec mon cœur brise
Comme si je ne t avais jamais croise
Mais surtout parce que je t ai rencontre
Et que j aimerais recommencer
Qui sait ?cette fois ca va peut être marcher.
Mais j ai peur je suis comme traumatisée
Je n avais pas réalisé que j avais tout mise
Irais je jusqu’ a dire tu m as détruis
Que tu ne m as apporte que des ennuis ?
J étais plus qu’une sœur, j étais comme ton frère
Tu disais qu’ on étais des partenaires.
On a refait le monde autour d une bière
Et l amour sans éteindre la lumière.
Et maintenant quoi ? Dis le moi toi
T as été de bon conseil autrefois.
Mais c'était autrefois….

Loin de moi

Tu prends avec toi les heures, la saveur
La chaleur mais surtout mon cœur
Quand tu t en vas.
Plus rien ne va
Les minutes paresseuses s’étirent
Dans le silence qu’interrompent mes soupirs.
Et mes mains oisives, tâtent le vide, inutiles.
En manque de leurs égarements subtils, furtifs.
Mon être languissant suspendu dans l’attente
Plus rien ne me tente.
Mes gestes distraits essayent de corrompre le temps.
Quand tu es loin de moi.

Le mal du bonheur

Parce que le monde est monde et que tant de choses vont mal
Parce qu’on a tellement l’habitude du mal
Que quand c’est bien, tout a coup ca cale
Parce qu’on se méfie d’un sourire
Et que cynique on regarde silencieux des innocents mourir.
Parce qu’il existe des phrase toute faite comme :
« C’est trop beau pour  être vrai »
Et que je ne suis peut être pas prête à payer les frais.
Parce que je suis conditionnée par l’histoire de l’humanité
Et que mes expériences additionnées
Ne sont pas pour nous faciliter.
Parce que j’ai appris à avoir peur de mon cœur
Que l’écouter m’a souvent cause de la douleur
Parce que je sens si bien que je vais recommencer
Que j’ai déjà commence à en rêver…
Pour ca et pour d’autres raison qui nous attendent a l’horizon
Les futurs pardons, les abandons…
J’ai envie de crier forfait, parce que je ne sais plus comment on fait
Pour se laisser aller, ne pas chercher a Controller.
Je ne me sens pas invincible
J’ai plutôt le sentiment d’être une cible.
Comprend, je me suis si souvent attachée a du vent
Que ton sourire n’est pas plus rassurant.
La douleur de mon expérience
C’est que l’expérience de la douleur
M’a conduit au mal du bonheur.
J’ai peur, j’ai le mal du bonheur
Ce voyage n’est plus pour moi
Je vais m’y perdre encore une fois.
Mais…
Parceque tu es venu quand je n’attendais plus
Quand les autres avaient fui
Et que ma tête n’avait plus que mes mains pour appui
Parce que’ a ce que les uns trouvaient inconcevable tu as dit oui
Que tes actes ont remplaces leurs mots
Que chez toi je sens plus de vrai que de faux
Que tu me donnes envie de retenir le temps
Pour que tu restes plus longtemps
Parce que j’ai encore plus peur maintenant
Mais que je n’y ai jamais tenu autant
Parceque j’ai envi d’enterrer mes ailes près de tes racines.
Pour ca et pour d’autres raisons
Que d’autres trouveraient peut etrebidons
Tes mains sur mon corps
Ta bouche qu’il réclame encore…
J’ai envie de te dire merci
Même si demain tu n’es plus ici
Tu as été la au moment précis
Qui fait que je t’apprécie
Tu as été mon éclaircie
Cet instant a suffit
Merci.


un ami

Que reste t il de l’amitié ?de cette foi sans doute que l’autre sera la dans les hauts comme dans les bas, de cette confiance qui versait dans ses oreilles ce qu’on avait fait de pire et ce qu’on rêvait de meilleur ? Quand l’amour était une larme que l’amitié essuyait ?
Ou sont les fous rires
Qui ne sont plus drôles que dans mes souvenirs ?
Et les crises de chagrin
Qu’on partageait comme du pain ?
J’aimerai croire que c’est le temps qui a passé
Mais mon cœur me dit que c’est le monde qui a changé
J’aimerai croire que ca fatigue de travailler
Mais c’est encore plus dur d’aimer
Ca aiderait de penser qu’il n y a plus de temps
Mais le fait est qu’on ne fait plus de temps.
Moi je voudrais juste prendre le mien
Pour faire une ode aux rapports humains
Ceux qui se font sans ordi interposés
Un ami juste pour causer
Sans substances pour y arriver
La vie est elle si triste pour chercher à l’esquiver ?
Un ami sans méfiances ni masques
Un ami sans casque
Un ami sans double fond
Celui qui voit ton bon fond
Et ri avec toi de tes tares
Un ami sans fard
Avec qui se désoler de ce monde blasé
Avec qui se consoler d’en avoir un pour arroser.
Qu’a-t-on fait de nos amis ?
Moi je prends le temps de regarder autour
S’il reste de l’amour ou des vautours
Si le chemin en vaut le détour
Car pire que l’ami qui s’efface
Est l’ennemi qui t’embrasse
 La vie veut qu’ils occupent le même espace
Et les temps veulent qu’ils disent les mêmes phrases.
Et toi qui es tu ?





Ratrace

Tu  le rencontre dans les coins lumineux de la vie
Il a beaucoup d’avis sur ce que tu fais de ta vie.
Il se présente comme ami, et si la vie ne t’as rien appris
Tu ne sauras pas que son sourire est une grimace
Causée  par la douleur de ce que tu amasses
Ceux qui t’embrassent
Ta classe
Ta place
Sa propre poisse
Si t’es un as
Ca ne lui plait pas des masses
Alors quoi que tu fasses
Détourne ta face de Ratrace.
Il mord et souffle en même temps
Prends son temps
Pour gâcher tes printemps
Car ca le détend
Depuis la nuit des temps,
La nuit te détends
Mais lui donne de nouveau plan
Car il est bercé par le son de tes pleurs
Et s’endort sur les plaies de ton Cœur.
Quand tu sautes de joie, il trépigne de colère
Il flaire ce qui peut te déplaire et y adhère
Car Ratrace n’a rien d’autre à faire.
Il a soif de pouvoir
Et l’exerce au noir
Sur les vies naïves de ce qui veulent bien croire
A sa sollicitude.
Aucune étude ne peut dire avec exactitude
Comment le reconnaitre de loin
Mais il n’est pas très loin
Quand la fête bat son plein
Il est parmi ceux que tu étreins
Il te fait des éloges
Et rêve que tu t’égorge
Quand tu bois
Je te le dis encore une fois
Méfie-toi de Ratrace
AKA hater, contre-succès, Imbeba
Celui qui a deux langues
Sinon ta peine sera longue.

Ma grande soeur

Elle a un cœur en couleur
Son âme est belle comme une fleur
Elle embellit tout ce qu’elle effleure
Elle a mon bonheur dans sa sueur
Ma sœur.
J’en suis si fier !
Elle a mille et une choses à faire
Mais je reste son affaire
Que faire
Pour une grande sœur qui est comme une mère ?
Je n’ai que des mots
Même pas assez beaux
Qui résonnent presque faux
Mais il faut que je te dise qu’elle est trop !
Trop gentille, trop candide, Trop sensible
Il y a surement un verset sur elle dans la bible
Ils sont chanceux de l’avoir ses amis
Et ceux que Dieu a mis dans sa vie
Elle s’appelle Noëlla mais on l’appelle Mamy
C’est ma grande sœur
Au cœur en couleur ou j’ai une place d’honneur
Je t’assure elle embellit tout ce qu’elle effleure
Elle a une âme belle comme une fleur
Et son bonheur c’est mon bonheur

Qui suis je ami?

J’en dis trop je le sais
Mais tu sais, c’est que j’ai peur que tu ne comprennes pas assez.
Je réalise soudain que je suis un cliché,
Malgré tout mes efforts pour ne pas tricher.
Mes amitiés
Des chorégraphies bien répétées
Mais au delà de toutes les histoires qu’on s’est répété
Sais-tu vraiment qui je suis ?
Je ne sais pas si tu me suis
Mais vois tu j’aimerais savoir
Me vois-tu, quand tu me regardes ?
Ou est ce la mémoire que tu garde
D’histoires racontées par mégarde
D’humeur, d’humour, de circonstances ?
J’avais oublié de soigner les apparences
Tant je croyais à la transparence
Je pensais t’avoir remis la balance
Pour que tu pèses la juste mesure de mes mots.
Je ne voulais pas des mots sur mesure
J’étais sure mais sure,
Que tu lisais en moi.
Dis moi est ce que tu me vois
Ou tu me perçois   
Qui je suis, mon ami ?
Je ne sais plus si tu suis
Car je ne sais plus si je suis,
Ou si j’apparais,
Car il m’apparaît
 Que tu ne me vois plus
Je pourrais autant être un intrus.
Je ne sais pas si tu me suis,
Mais je ne sais plus qui je suis,
Car je t’appelle mon ami,
Mais mon image se reflète dans tes yeux et je fuis…
En attendant de que tu me dises ca y est j’y suis
Je te suis !!!
Mais je suis juste perdue
Depuis que je ne me reconnais plus
Dans tes yeux.
Tu n y es pour rien
Entre mon cœur et ma bouche il y a un long chemin
Que même moi je ne connais pas très bien
J’ai passe ma vie a penser que j’étais quelqu’un de bien
Ce n’est pas vrai mais ca ne fait rien
Car ce que je digère moins bien
C’est que proches c’est toujours trop loin !
L’intimité est un dur labeur
Car tu ne me verras jamais de l’intérieur
Alors j’accepte avec douleur
Que même toi
Tu me perçois.

To whom it may concern

There might be a thing or two about me you like
I see it because you stare like you are about to strike
Or maybe what I see is dislike,
Maybe it s my teeth: too big for your taste.
I love my teeth
Life is a feast I crunch it like a beast.
Or maybe it s my thighs
You look at them and sigh:
“You d be so fly with less pulp!”
But to my lover they’re sweet like syrup!
My big curves, they give you vertigo      
And I have the nerves to let them show!
I suspect that my big gestures and my loud voice,
Are not really your first choice.
My speech is straight like an arrow
And sometimes my words are a bit raw
I laugh uproariously
I love passionately!
I dance the night away!
It s my way!
I am more
More than you can take
I am what you can’t unmake
I am a world in you world!
You may hate but I don’t leave you cold!
I can understand if you don’t understand
I can stand that you don’t stand me!
You can reject me
But I demand that you respect me.

Solitudes assistees

Ca commence par des larmes  à l’intérieur
Qui compressent mon cœur,
Qui ne peux les contenir.
C’est con de tenir
Alors
Je les laisse monter jusqu'à ma gorge
Mais elles sont bloquées par les cris qui l’engorgent,
 Alors mes larmes retournent dans mon cœur
Et prennent de l’ampleur.
J’aimerais pouvoir dire j’en pleure,
Mais j’ai juste une overdose de douleur,
Alors je plante ma plume dans mon cœur
Pour évacuer mes pleurs
Comme une dose d’adrénaline pour les accros.
J’écris mes sanglots,
Je crie des flots,
Je saigne des mots,
Et j’espère des échos ;
J’écris comme une bouteille jetée a la mer
Espérant que la vague emporte le gout amer
Et me ramène un sourire, une épaule
Un regard qui me dit tu n’es pas folle.
J’écris même si des fois je n’aime pas vraiment ce que j’écris,
Même quand un autre l’a déjà dit.
Parce que mes maux se terrent
Mais mes mots refusent de se taire.
Je prends le risque de te déplaire
Parce qu’écrire c’est tout ce que je sais faire
C’est la que mon âme erre
Pour prendre l’air
Et je l’y retrouve pour respirer.
Des fois pour m’exprimer j’use de mots expirés
Pour rabâcher des sentiments éreintés,
Dans mes moments trop souvent répétés
De solitudes assistées.
Ou je n’arrive pas à m’arrêter
De pleurer sur papier
Car rien d’autre ne pourrai m’aider.

Une annee d'Iman, ameen

Une année déjà que tu dessines dans mon ciel
Des arcs en ciels parfum de miel.
Ma prunelle,
Tu repeins mon cœur de toutes tes couleurs
Tu me fais voir ton monde dans tes éclats de rires
Mais aussi je commence à me dire,
C’est clair, le grain de folie c’est héréditaire
Pas de moi bien sur, de ton père !!!
Par contre je m’inquiète un peu de tes crises de colère
Dans la maison, tes explosions épiques ont déjà formé des cratères
Mais je me rassure, tu auras du caractère
Apres que je l’ai aiguisé,
Les garçons ne pourront rien te faire
Bon il est trop tôt pour parler de ce genre d’affaires
Mais je te promets de ne pas faire de mystère
Il n y aura pas de zone à taire,
Si tu m’apprends à être ta mère
J’apprendrais à être ton amie
J’essaierais de comprendre que ta vie c’est ta vie
Je m’efforcerai de te laisser faire ton chemin
De ne pas y voir les embuches du mien
Mais je te tiendrai la main, peu importe ton destin.
Tu m’apprendras à être femme
Je t’apprendrai à contrôler tes flammes
Ensemble peut être qu’on apprendra la patience.
Mais une chose est certaine on a de la passion !
J’espère bien utiliser le temps
Qu’on ne haussera jamais le ton
Et si ca nous arrive des fois
Que ca ne soit que pour des noix
Qu’on oublie aussitôt
Parce que je ne peux pas me passer de toi
Tu es ma joie
Mais on t’a appelée Iman
Car tu as augmenté notre foi
Changé notre vie en émoi constant !
Tu te fâche et tu rigoles en même temps
Tu pleures et tu danse en même temps
Tu danse même en mangeant
Tu mange toujours en riant
Et tu m’accueille toujours en criant
Mais ce que je préfère c’est tes câlins toujours doux et surprenants.
Joyeux anniversaire petit ange joyeuse.

mercredi 22 février 2012

melancolie de grandir

Quand le niveau de stress ne connait presque
Plus de baisse
Que la spontanéité s’affaisse et
Que le volume de ton rire baisse
Que tu cesse de vivre les instants… car tu t’empresses
De les compter
Tu sais
Que tu as atterris au pays
Ou les minutes sont maitresses
Elles ne te laissent
Pas de répit
Elles te rappellent la détresse
Du temps qui presse
Ca te presse la jeunesse
De cogiter
Et quand tu déstresses…
L’écho du J.T
Ne fais rien pour te faciliter
Tu as été parachute
Au pays
Ou l’insouciance
A fait place à l’angoisse
Les problèmes s’accroissent
Tes ennemies coassent
De ton malheur
Tes amis aussi d’ailleurs
C’est le pays de la peur
Des conséquences
Ou tu cherches un sens
Mais ou tu perds peu à peu de ton essence
Et tu te donnes bonne conscience
Après tout il y a un temps que t’as quitte l’enfance.

Mélancolie de grandir,
L’âge adulte est solitaire
Pas du même solitaire
Que dans l’enfance
Ou l’imaginaire compense.
Enfant,
on voit noir ou blanc.
Grandir c’est comprendre le gris
En ayant peur de devenir aigri
Gouter a l’aigre-doux
Renoncer à être fou
Faire des concessions
Sur ses visions
Ses affirmations…
Déménager de la lune
S’installer

Au pays des adultes…
Tu es
A l’aise a la scène
Le trac en coulisse
Le maquillage est ton complice.
La vie n’est plus un jeu
Plutôt une farce
Qui souvent t’agace
Mais que parfois tu enlaces…

Le pays de l’envie
Des désirs inassouvis
Une sous vie
Le payer du loyer
Des factures a’ payer
Ici le futur a déjà lieu
Et tu ne sais pas si demain sera mieux
Une chose est sure c’est que tu seras vieux
Et les choses ne sont pas comme tu veux
Mais comme tu peux
Et peu vaut mieux que pas n est ce pas ?
Alors tu fais du mieux que tu peux pour ne pas
Avoir trop de regret
Parce que chaque pas
T’éloigne de l’innocence
Et te rapproche de l’échéance…
Mais avec un peu de chance
Il te restera un peu d’enfance
Pour vivre a outrance
Peu importe ce qu’on en pense
Sans faire trop de concessions
Sur tes visions
Au pays de la déception, la trahison
Dont tu comprends de plus en plus la notion.
L’âge adulte est solitaire
Pas du même solitaire que dans l’enfance
Ou l’imaginaire compense
Enfant, on voit noir ou blanc
Grandir c’est comprendre le gris
En ayant peur de devenir aigri
Gouter a l’aigre-doux
Renoncer a être fou
Déménager de la lune
S’installer sur terre
Avec droit de visite.
Car, la poésie se cache partout
Elle embellit les minutes qui se ressemblent
Elle crée la nuance
Qui influence… le sourire.
Et tu crois
Au bien sinon ca ne sert à rien
Malgré les coups de poignard, les leurs les tiens
Tu vis…le bonheur en toute conscience
Tu apprends la patience
Tu essayes d’avoir confiance
Tu retiens un peu d’enfance.

Toi

Des fois le bonheur,
c'est aussi ces moments teintEs de frayeur
ou tu t'ecartes du present pour mieux le contempler
Et rEaliser que tu es tellement comblE
Que tu as tout a perdre.
Ces moments magiques
ou tu as envie de te mordre
Et ca serait tragique de se reveiller
car c'est impossible que tu soit eveillE
Tant tu es emerveillE par la rEalitE.
Des fois le bonheur, c'est un choix
Celui d'avoir la foi
que peu importe quoi
Un autre que toi, portera tes croix
En d'autres termes pour moi
le bonheur c'est toi
car mille et une fois
il te caractErise.
Et dis pas que j'idEalise
c'est juste que je rEalise
Qu'il est grand temps que je te dise:
Mon coeur est devenu plus grand
Depuis que tu habites dedans
chaque fois que tu me quitte, ca fais mal
Mais il y a pas de mal
Parceque chaque fois que tu me reviens
ca fait un bien
Tel que mes yeux brillent
Parlant d'yeux
Grands dieux
J'ai cassE tout mes miroirs
Pour ne pouvoir me voir
que dans les tiens
Car ils detiennent le pouvoir
De me faire si belle que je peux a peine y croire.
j'aime ton nez que j'inonde de mon odeur
Pour pousser ta bouche en profondeur
J'aime la barbe sur ton menton
que je gratte en ecoutant le doux ton
de ta voix.
J'aime ton torse
ou dort ta force
et ou ma tete se pose en sEcuritE
pendant le repos mErite
des longues journEes agitEes
J'aime tes carrEes de chocolats
Et ca serait pecher de ne pas le mentionner ceux la.
j'aime tes jambes qui me portent peu importe mon poids
et tes commentaires droles a chaque fois!
J'aime tes pieds qui rEchauffent les miens sous les draps
Pendants que je suis dans tes bras.
J'aime tes mains qui m'Effleure en douceur
Et ton sourire qui me dit que moi aussi j'habite dans ton coeur.
J'aime aussi ton dos
Car mon amour je t'aime recto verso!

198 mots pour decrire ton depart en 1 mot

Il me reste le silence
Pour sentir la différence,
Pour palper la carence,
Pour apprendre ton absence.
Plus que le silence,
Pour me rappeler ta présence,
Pour méditer ton essence,
Pour trouver un sens,
Pour accepter mon impuissance.
C’est ce silence dense
Qui a remplacé nos folles dance.
Nos fous rires intenses,
Sont maintenant des réminiscences.
Rien ne l’explique même pas la science
La patience prend tout son sens,
Mais je pense que rien ne panse
La blessure de ton absence.
Il n’y a plus que le silence
Ou il y avait la fréquence,
Et des séquences
D’instants sans conséquences
Qui sonnent dans ma mémoire des alertes d’urgences.
J’ai peur d’oublier le son de ton rire en cadence.
C’est le silence
Qui suit la sentence
Sans appel, le vide immense.
La sentence, qui m’a fait perdre confiance
Que demain est une évidence.
Dans tes yeux éteints j’ai perdu mon innocence
J’ai compris que mourir et dormir ont une grande ressemblance
Sauf que mort tu dors en silence
Ta poitrine ne se soulève plus en cadence
Plus de cadence, tout s’est figé dans le silence
Le silence c’est la seule ambiance.
Et moi, je serai a jamais une âme en convalescence

Un amour qui derange

Je t'aime
D' un amour si fort qu’il peut te détruire
Un amour étrange
Qui change
Les bonnes intentions
En agressions
Un trop plein d’émotions
Qui cause une mutation
De mots gentils
En outils
De tortures morales
Je n’essaie pas de te traiter comme un caporal
Mais tu comprends l’idée générale
C’est que je t’aime a te faire mal!
Quand je te donne le morale
ca sonne comme la morale
Je t’aime trop!
Moi j’espère que tu prospère
Toi tu désespère du jour ou je te laisserai faire
C’est clair, faudrait que j’apprenne a me taire
Que je comprenne que je ne suis pas ta mère
Juste une sœur qui souhaite de tout son Cœur
Que tu sois mieux qu’elle
Que ta vie soit belle
Que tu excelle
Que ta femme soit belle
Mais surtout qu’elle t’aime
Pas comme moi mieux
Que tu sois sérieux
Mais surtout heureux.
A mes yeux
Tout ce qui a de mieux
Est a toi et je le demande aux cieux!
Que tu puisses devenir vieux
Bénis d’un avenir radieux
D’un présent somptueux.
Mais trop souvent je ne suggère pas je veux
Que tu deviennes plus
Je te donne tout les superlatifs
Et je t’exige les efforts relatifs.
C’est un amour agressif
Mais surtout pas abusif
 Tu vois
Ce n’est pas facile d’être aime de moi
Un amour ou tu perçois ma foi
Comme un doute
Comme un obstacle sur ta route.
Je sais que tu n’a pas besoin de ma main
Pour faire ton chemin
Mais mon Cœur de grande sœur n’a pas de frein
Il avance sans permis de conduire sur ton terrain.
Et si je t’écris ses mots c’est pour te dire pardon pour toutes les fois ou j’ai enfreins
Le code du silence.

Jalousie

A la fête ou dans ma tête
Tu me guette
Tu te nourris de peut êtres
Tu m’embête mais tu t’entête
Je ne suis plus seul maitre
De mes mots, mes actes
De mes élans que tu rétractes.
Tu suspectes, enquête
Tu oublies que je me respecte
Tu m’infectes du spectre halluciné
De nouvelles dulcinées.
Tu exacerbes mes soupçons
Tu alimentes ma passion
Mais tu en tue la raison.
Tu prête des intentions
Tu ne parle que de trahison.
Tu te sers de ma confusion
Pour inoculer ton poison.
Tu désires tout Controller
Tu veux son cœur pour palais
Et moi j’ai l’air un peu fêlée
Tu voudrais lire dans ses pensées
Pour savoir ce qu’il sait.
Mesquine, tu me pince le cœur
Tu te sers de mes peurs
Et te fais passer pour ma sœur.
Jalousie
Dire que tu es preuve d’amour est une hérésie
Tu le combat avec frénésie
Et me fais passer pour une hystérique
Des fois en public
Je pose des gestes historiques
Des scandales épiques
Ou je me donne moi-même la réplique.
La je crois que j’ai atteint le pic
J’en peux plus de jouer au flic
Cet amour est déjà une relique
La prochaine fois, j’engage un détective !

Petite ballade pour grand corp malade

Comment dire ?
Tu  vole les mots de ma bouche
Et de ta magie, en fait une caresse qui touche
Mon cœur sans voix.
Ce que j aurais pu dire ? Tu l’as dit avant moi
De ta voix de Ténor
Qui m’indique tes nord
Et me montre ma voie.
Mes joies je les célèbre en slam
Et quand je rame,
 Mes larmes, je les transforme en spam
Toujours d’un tour de slam et vlam.
Ou, je t’écoute… et tu apaise mon âme.
Je t’imagine, habitant dans un palais
Ou pour se rafraichir le palais
Des fontaines par milliers
Laissent couler
Des mots rafraichissants.
Et pour les gourmands
Des mets succulent épicés de mots piquants.
Pour rigoler, une muse s’amuse à recycler les mots qui s’usent
Pour laisser s’échapper des idées recluses,
 Qui elles aussi s’amusent, â jongler  avec les mots qui fusent.
Et quand la lumière se diffuse
Le rythme des rimes arrime
Sur un lac paisible et berce les mots qui rêvent de slam.
Moi, je reste une courtisane
Qui converti les profanes
Car ma passion pour toi jamais ne fane.
O grand roi du slam

TGIF

J’ai perdu les mots en essayant de trouver a quoi ca rime
Perdu dans mes idées, ma peur de perdre mon identité
J’ai perdu les mots qui m’aidaient à délester
Le poids de mes journées éreintées.
Le poids des responsabilités
A écraser l’urgence de mon inspi dictée
Mes mots sont assiégés entre le cerveau et le papier
Ma plume s’est envolée
J’ai perdu mes ailes, le corporate m’a enrôlé
Je tente désespérément de la retrouver !
Plume, plume ou es-tu?
« Je suis derrière les nuages »
Que fais-tu?
« J’attends que tes rêves voyagent »
Plume tu ne comprends pas je suis perdu
Ils m’ont colle des racines
Pour pas que j’ai la tête dans les nuages
Ils  m’ont donne des règles, des dress codes, des policies
Je suis indécise
En sandwich entre le pain et la liberté
Ils m’ont donne le confort et la bouche fermée
Le décor et les emails calculés
Le stress et heures de sommeils cumulées !
Moi qui rêve de rester éveiller
A répéter une pièce dont je doute du succès
A inventer des mélodies spontanées
Au hasard d’une rencontre au studio non planifiée
Je suis condamnée
A quelques années
A produire des satanés rapports de début d’année
Lol je rigole, ca n’a pas de sens, c’est juste pour la rime
Maintenant je comprends, c’est pas k ils friment
Ils sont juste constipé
Trop de mots coincé qui n’arrivent plus à trouver la sortie
 Alors ils s’échappent dans les sorties
Quelques shot décompresseurs
Quelques tafs pour adoucir les mœurs
Et on espère des lundis meilleurs
Sur le dance floor un peu de sueur
Pour essuyer la sueur de ton Cœur
Apres une semaine a la jungle
On a finalement le droit de dire TGIF!

L'autre

J’aimerai te parler du moi
Qui ne fait jamais face au miroir
Celui qui ne gagne pas à se faire voir
Celui dont le regard
Me fait baisser les yeux, ma tare.
Mon coté noir.
Cet être de glace
Que je ne peux haïr qu’en face
D’une glace.
Le destructeur qui carbure a la peur.
Moi.
La colère qui l’air
De rien
Prend son temps pendant
Que la violence attend le sien.
Moi.
Mes blessures qui saignent ton cœur.
Ma rage sous contrôle dans sa cage
Attendant de prendre le large
En emportant quelque victime au passage.
Moi encore.
Je me rectifie
Mais rien n’y fais, je me terrifie
Sous pression le monstre s’amplifie
Je me méfie de mes réactions
Une fraction de seconde suffit
Un instant d’inattention
Et l’autre prend contrôle de mes actions.
Pardon !
Mais c’est déjà trop tard
Il me reste plus que le cafard
Qui me colle a la conscience
Je perds ma confiance
Et ma culpabilité se met en mode défense
« C’est le stress, la société m’oppresse,
La vie me coute la peau des fesses
Mais la vérité me laisse blême
Je suis le problème
Et la cure la plus sure
C’est d’embrasser mon coté obscur
Fait la paix avec ma blessure
Réparer la cassure.
Même si elle a un gout sure
La vérité à coup sur
Te libère
Tu es le jour et la nuit
Tu es ce que tu fuis
Tu es la cause de tes ennuis
Et la clé du bonheur
Est dans ton cœur.

Avec tout le respect que je ne vous doit pas.

Qu’est ce que vous m’emmerdez monsieur
Avec vos airs de prince tombé des cieux
Je n’ai aucune envie de me mirer dans vos yeux,
Il ne m’impressionne pas votre regard odieux
Je ne m’agenouille que devant Dieu.
Avec tout le respect que je ne vous doit
Pas
Je ne sais pas ce qui vous fait croire
Que vous avez les pleins pouvoirs
Sur mes pensées, mes paroles, mes mouvements.
Qui vous ment ?
Essayer de gifler le vent
C’est moins dément
Que de me créer a votre image.
Désolée monsieur, je ne suis pas sage,
Je suis plutôt de celles qui saccagent
L’image de votre modèle de femme,
Je suis infâme
Et ce n’est pas du bluff
Quand je vous dis d’aller vous faire cuire un œuf.
Je suis une insolente effrontée
Face a votre arrogance éhontée
Je n’ai pas peur de vous affronter
Monsieur, je vous préviens par bonté ;
Je ne me ferais pas de l’ombre
Pour vous éviter d’être sombre,
Je ne demanderai pas pardon
Pour les dons, dont la nature m’a bénie
Ni pour ceux dont vous êtes démuni
A que nenni
Je n’ai ni le temps ni l’envie
De vous caresser l’ego,
Yego yego
Ce n’est pas pour moi.
Monsieur, être un homme ne suffit pas
Pour gagner mon respect
Descendez de votre trépied
Que je vous dise ce qui manque à votre CV:
L’assurance tranquille
L’humour subtil
Le charme magnétique
Les mains électriques
Le cœur de miel
De l’expérience a la pelle
Des conversations éclectiques
un fond romantique
Sur une surface pragmatique
Non monsieur, vous êtes plutôt pathétique
Avec vos tics de macho soporifique
Non, monsieur je passe
Retournez a votre place
Car rien qu'a votre idee mes nerfs s'agacent.

La mediocrite pour identite

Le cœur gros
Le cerveau qui montre ses crocs
Je cogite.
Au delà des mots
Qu’est ce qui peut guérir nos maux,
Nos reflexes de troupeau,
Cette poisse qui nous colle a la peau ?
On a tout pour être beau,
Mais on a plutôt des fardeaux
Car on fait parti du complot
Pour nous écarter du lot
Des mieux lotis, so
Va-t-on continuer à fermer le museau
Masturber le cerveau
Dans l’illusion qu’il fait du boulot
Qu’on est pro… ?
On ne fait aucun effort de trop
On fait notre lot et on rentre tôt.
Quand la conscience fait écho
On fume un petit bedo
Et on peut faire dodo

Eux ils ont arrêté de nous b**ser dans le dos
On participe à notre viol, on vénère notre bourreau

Oh !
Sommes-nous blasés ou désespérés ?
Pour avoir la médiocrité pour identité
Vivre au futur avec des principes d’antiquité
On embrasse la facilité mais on ne sait pas l’utiliser
Nos esprits simplistes ne connaissent pas la simplicité !
Tu commence à t’irriter
Mais de quoi veux-tu être félicité ?
Ce que tu consomme tu l’as importé
Si tu te mets à douter
Regardes les habits que tu es entrain de porter
Toutes ces choses dont tu ne sais plus te passer
Mais que tu ne sais pas (veux pas), peux pas fabriquer
Tu mérites vraiment tout tes sobriquets
Tant que tu ne reconnais pas ou es ta pauvreté !
Ta pauvreté, ma pauvreté
Elle dort dans mon manque de volonté
Dans mes petits rêves que je ne sais pas réaliser
Parce que je ne suis ni déterminée
Ni disciplinée
Mais je préfère croire que l’échec est inné
C’est le trop plein de mélanine et
Aussi le fait qu’on nous a toujours tout donné
Le soleil toute l’année
Nos ainés pour nous materner…
Non je ne veux plus être du lot des satisfaits…
La prochaine fois que je m’allonge pour paresser
   Je voudrais au lieu de rêvasser
Elaborer des projets
Qui auront pour sujet
La fin de la mediocrite:
La liberte

Since the day I fell



Since that day I fell for you, I have not landed
My heart must be deeper that my imagination; I am still falling.
Since that day I began writing for you
I have not found the full stop
My words are waiting for the perfect combination
To describe the level of satisfaction
But yet a feeling close to starvation
Or maybe it is some kind of levitation…
Words have too much limitation
To explain my passion, my devotion
I would need words in motion
Colors for emotions
That canvas should be an animation
Able to convey sensations
You are sensation-al
You wake my instincts and I am an animal
Then you lift my spirit and it is magical.
Our love is so gangsta
You are a bit like a brother
A lot like a lover
Like I am having an affair with my husband
And it s a secret I share with my best friend
Only that it is the same guy
Sometimes you can be so dry
It s alright, I like that you don’t try
To fulfill the clichés you are your own guy
My kinda guy!
My guy!
I will never say bye
I m never through
Give me more of you
Eternity is a short time
To look at you
Listen to you
To inhale you
Touch you
Taste you
 Feel you
Till I am through
Since that day I began writing for you
I invented a new dictionary
And your name is a noun, an adjective, a verb and an adverb
A superlative
An expression, a conjunction
 Elocution
That is why I don’t love you
I khalil you.