mercredi 22 février 2012

Petite ballade pour grand corp malade

Comment dire ?
Tu  vole les mots de ma bouche
Et de ta magie, en fait une caresse qui touche
Mon cœur sans voix.
Ce que j aurais pu dire ? Tu l’as dit avant moi
De ta voix de Ténor
Qui m’indique tes nord
Et me montre ma voie.
Mes joies je les célèbre en slam
Et quand je rame,
 Mes larmes, je les transforme en spam
Toujours d’un tour de slam et vlam.
Ou, je t’écoute… et tu apaise mon âme.
Je t’imagine, habitant dans un palais
Ou pour se rafraichir le palais
Des fontaines par milliers
Laissent couler
Des mots rafraichissants.
Et pour les gourmands
Des mets succulent épicés de mots piquants.
Pour rigoler, une muse s’amuse à recycler les mots qui s’usent
Pour laisser s’échapper des idées recluses,
 Qui elles aussi s’amusent, â jongler  avec les mots qui fusent.
Et quand la lumière se diffuse
Le rythme des rimes arrime
Sur un lac paisible et berce les mots qui rêvent de slam.
Moi, je reste une courtisane
Qui converti les profanes
Car ma passion pour toi jamais ne fane.
O grand roi du slam

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